Tu sais ce que tu dois faire, mais tu repousses. Encore. Et encore. Si tu te reconnais, cet article est pour toi. Découvre ce qui se cache derrière la procrastination, pourquoi ce n’est pas de la paresse, et comment le coaching professionnel peut t’aider à passer à l’action, sans culpabiliser !
Quand tu reportes une tâche, ce n’est pas juste une question de flemmardise ou d’être « trop relax ». C’est souvent une réaction émotionnelle inconsciente. Certaines personnes pensent être paresseuses, mais en réalité, elles sont perfectionnistes et ont peur de ne pas être à la hauteur. Résultat : elles préfèrent repousser au lendemain ou attendre le dernier moment.
Ce comportement devient vite une manie, qui fait perdre du temps et de l’énergie. Tu te retrouves à faire certaines choses à la dernière minute, en mode panique, et souvent, sous pression. Le remettre au plus tard devient ta stratégie de survie.
La procrastination est souvent un mélange d’angoisse, de peur de l’échec, de surcharge mentale et d’un besoin de gratification instantanée. Ton cerveau cherche à éviter l’inconfort, donc il te propose une activité plus agréable… comme scroller sur Instagram ou ranger ton bureau pour la 8e fois.
👉 Ce mécanisme active une partie du cerveau appelée l’amygdale, qui traite les émotions négatives. En face, le cortex préfrontal, qui gère la logique et la planification, tente de garder le cap. Mais souvent, l’impulsivité émotionnelle gagne.
Le résultat ? Tu repousses, tu reportes au lendemain, tu ressens un malaise diffus, tu culpabilises, et tu entres dans une spirale de pensées négatives. On appelle ça un cercle vicieux cognitif.
Tu veux bien faire. Trop bien. Trop souvent. Et cette quête de perfection t’empêche de commencer. Tu redoutes de mal faire, d’échouer, ou que le résultat ne reflète pas ton potentiel. Alors tu diffères, parfois jusqu’à ne rien faire du tout.
Les perfectionnistes ont tendance à remettre en action uniquement quand ils pensent pouvoir tout faire parfaitement. C’est contre-productif et angoissant. Tu préfères souvent éviter que de risquer de rater.
Fun fact : selon certaines études en neurosciences, ce type de procrastination active les mêmes zones du cerveau que celles impliquées dans les troubles anxieux ou la dépression.
Voici quelques signes que ta procrastination n’est pas juste « passagère » :
Dans certains cas, ces symptômes peuvent relever d’un trouble émotionnel plus profond : burn out, phobie d’échec, voire troubles obsessionnels compulsifs. Et il est important de ne pas rester seul.e face à cela.
🧠 La règle des 5 secondes : dès qu’une idée d’action émerge, compte à rebours de 5 à 1 et bouge. Ne laisse pas le temps à ton cerveau de te saboter.
⏱️ Méthode Pomodoro : 25 minutes de concentration + 5 minutes de pause = un cycle pour créer une dynamique productive sans pression excessive.
📝 Lister ses tâches dans un carnet ou une appli avec des échéances raisonnables aide à visualiser l’objectif sans être submergé.
🧩 Fractionner certaines tâches : tu bloques sur un dossier ? Commence par le renommer, puis par créer un dossier. Ce sont des micro-victoires contre l’inertie.
Un coach professionnel ne va pas te faire la morale. Il va t’aider à :
👉 Sur Priorise.fr, tu peux trouver un.e coach qui comprend ce que tu vis. Tu n’as pas à rester seul.e face à ce combat intérieur.
Découvre notre vidéo spéciale “règle des 5 secondes” pour débloquer ton cerveau et agir sans tergiverser.
🎯 Ne remets pas ce clic à demain 😉
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